Cette image, apparue sur la page Facebook d’un ami, me fait résonner beaucoup sur le sens de cette aventure vers l’indépendance financière. Pour faire simple, ça me fait capoter qu’on travaille 48 semaines pour quelqu’un d’autre, et qu’on ait droit à seulement 4 semaines de vacances, sur le bord d’un lac, ou ailleurs. Avant de recommencer à nouveau, tous les ans, pendant 40 ans. Si je poursuis cette aventure, c’est pour ne pas répéter cette histoire, à tous les jours de ma vie :
Dans quelques mois, je vais débuter mon plan vers le bonheur, en débutant par une réduction de mes journées travaillées, de 5 à 4 jours/semaine. Je suis CoastFIRE depuis quelques années déjà, alors pourquoi pas commencer à en profiter?
Cette illustration m’a aussi fait penser à l’histoire de l’homme pauvre sur la plage. J’ai demandé à Copilot s’il la connaissait, voici sa réponse :
Il était une fois un homme pauvre qui passait ses journées à la plage, assis sur le sable et regardant l’horizon. Il ne semblait pas avoir de travail ni d’ambition. Un jour, un homme riche qui venait rarement à la plage s’approcha de lui et lui demanda : “Pourquoi ne travailles-tu pas plus dur pour améliorer ta situation ? Pourquoi restes-tu ici à ne rien faire ?”
Le pauvre homme sourit et répondit : “Mon ami, regarde autour de toi. Vois-tu cette mer infinie ? Elle est ma source d’inspiration. Chaque vague qui se brise sur le rivage me rappelle que la vie est comme l’océan, pleine de mouvements et de changements. Je n’ai pas besoin de travailler plus dur pour accumuler des richesses matérielles. Je suis riche en paix intérieure, en gratitude et en sérénité.”
L’homme riche fut surpris par cette réponse. Il réalisa que peut-être la richesse ne se mesure pas seulement en biens matériels, mais aussi en moments de contemplation, en connexion avec la nature et en simplicité.
Et ainsi, le pauvre homme continua à s’asseoir sur la plage, profitant du soleil, du vent et des vagues, tandis que l’homme riche retourna à sa vie trépidante, se demandant s’il avait vraiment compris la vraie richesse.
Cette histoire nous rappelle que la richesse peut prendre différentes formes et que parfois, la simplicité et la gratitude sont les plus grands trésors.
Dans quelques années, je serai peut-être à l’image de ce pauvre homme, en balade à vélo sur le bord du Saint-Laurent, ou bien à pied, déambulant dans les rues du Vieux-Québec, ou bien au dans un parc avec un livre, tout simplement.
À bientôt,
Le Renard
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