Il y a quelques semaines, nous avons eu le privilège d’ouvrir un Régime enregistré d’épargne-études (REEE) pour notre petit renardeau. Nous sommes honorés de pouvoir contribuer à son éducation et à ses rêves. Ce geste représente un pas de plus vers notre indépendance financière, et pour lui, cela lui offre d’excellentes chaussures pour le marathon de la vie.
Pourquoi investir autant dès la première année?
Oui, vous avez bien lu, nous avons cotisé 16 500 $ dans le compte REEE de notre petit bébé. Nous avons suivi la stratégie de la Médaille d’argent du REEE proposée dans une récente chronique de L’argent et le bonheur de Nicolas Bérubé. Puisque nos comptes enregistrés sont déjà pleins à craquer, cet espace supplémentaire permettra de faire fructifier ce petit magot à l’abri de l’impôt. Dans les prochaines années, nous ajouterons 2 500 $ par année (pour obtenir le maximum des subventions), jusqu’à ce que nous ayons cumulé 50 000 $ de cotisations, le maximum permis par le régime.
Évidemment, nous laisserons la magie des intérêts composés opérer, au fil des années.
Vous avez investi dans quoi?
Comme pour nos RÉER et CELI, nous avons tout investi dans le FNB tout-en-un GEQT. Tous nos comptes sont chez BMO (chèque, CELI, RÉER et non enregistré). On a donc ouvert le REEE sur la plateforme de courtage BMO Ligne d’action, l’équivalent de Disnat chez Desjardins.
À quoi sert le REEE?
Le REEE est un excellent moyen d’épargner pour l’éducation d’un enfant. Il permet de faire fructifier des sommes à l’abri de l’impôt pour financer les études postsecondaires de votre enfant ou d’un enfant de votre entourage. En plus de votre épargne, les subventions accordées par les gouvernements canadien et québécois viennent s’ajouter. Les dépenses admissibles peuvent inclure les frais de scolarité, les livres, les outils, le transport et le loyer.
Si vous souhaitez en apprendre davantage, voici le guide ultime du REEE :
À bientôt les visionnaires,
Le Renard
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